INTERVIEW DE Maxime CHATTAM

 

Maxime Chattam était au Salon du Livre 2011 et après une longue séance de dédicaces chaleureuse et conviviale avec ses lecteurs, c’est avec un grand sourire et beaucoup de simplicité que l’auteur de l‘Ame du mal, In tenebris etLeviathan a accepté de répondre aux questions de nos Kopines.

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Bonjour Maxime Chattam,
Comment êtes-vous tombé dans la marmitte de l’écriture ?

J’ai commencé à écrire quand j’étais adolescent pour m’amuser et me raconter des histoires car je trouvais la vie quotidienne plutôt ennuyeuse. Puis, j’ai continué à écrire pendant des années en parallèle d’un autre projet qui n’a pas fonctionné.

Vous faites référence à votre souhait de devenir comédien ?

Oui. A 14 ans, je rêvais d’aventures et d’exploration, malheureusement la vie quotidienne ne m’apportait rien de tout ça. Je faisais même l’école buissonnière à la recherche de sensations fortes mais j’étais toujours frustré par la réalité. Alors, j’ai réfléchi à un métier qui pourrait m’apporter un minimum d’aventure et j’ai décidé de devenir comédien … mais ça n’a pas vraiment marché ! Alors, vers l’âge de 20 ans, je me suis mis à écrire de manière plus assidue, pour moi, mais aussi pour le partager. J’ai commencé à écrire un roman policier  et j’ai même fait des études de criminologie pour me documenter et me faire des contacts. C’était important de rencontrer les professionnels du milieu qui allaient, par la suite, m’aider dans l’écriture du roman. C’est ainsi que l’Ame du mal est né et a été publié en 2002.

Pourtant l’Ame du mal n’était pas votre premier livre ?

Non c’est vrai. Le Coma des mortels est le premier livre que j’ai écrit mais il ne sera pas publié même si mes amis me disent que c’est ce que j’ai écrit de mieux ! Il est trop personnel, je m’y raconte vraiment.

Ensuite, j’ai écrit Le 5e règne mais c’était un livre fantastique et j’avais bien conscience que ce n’était pas un genre où on était le bienvenu en France. Et puis, j’avais envoyé un exemplaire à quelques maisons d’édition sans recevoir de réponse alors je l’ai mis de côté et il n’a été publié qu’en 2003.

Suite de l’interview de Maxime Chattam

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